Somali

Je tiens tout d’abord à préciser que je n’ai pas obtenu l’asile en Roumanie, et que je n’ai même jamais eu l’occasion de déposer une demande d’asile. Je m’appelle Abdullahi Ali Hamdi, je suis née le 03 novembre 1994 à Burdiir, en Somalie. Je fais partie de l’ethnie des Dir, et plus précisément de la tribu Ahmed Farah. J’ai 4 frères et sœurs, dont l’ainé et décédé. J’ai été élevée dans la tribu de ma mère, Fatouma Youssouf, qui faisait partie de la tribu Abgal, qui est une grande tribu en Somalie. Mon père faisait partie d’une tribu minoritaire, la tribu Ahmed Farah, et c’est d’ailleurs pour ça que mes parents ont divorcé. Logiquement, ils n’auraient jamais dû se marier, parce que les membres des tribus minoritaires, et donc de la tribu de mon père, doivent se marier entre eux. Mes parents ne se sont pas trop éloignés, mon père est retourné rejoindre sa tribu. A l’époque, moi et mon frère étions né. Selon la coutume, les enfants perpétuent la lignée. La famille de ma mère ne voulait aucun enfant venant de mon père. Mon père a gardé mon frère et ma mère a supplié sa famille de pouvoir me garder. Elle a accepté. La famille de ma mère considérait que je faisais partie d’une race inférieure. Quand ma mère s’est remariée avec un membre de sa tribu, et sa famille a tout fait pour que même mes frères et sœurs, considérés comme de bonne race, me détestent. J’ai fini par me marier avec Quelqu’un de ma propre tribu, et, après eu trois enfants, nous nous sommes séparés. J’ai élevé mes enfants à Galguduud, plutôt tranquillement. Quand EL-Chebab est arrivé dans mon village, ils nous ont appris leur manière de fonctionner. Avec eux, pas de tribu. S’ils souhaitaient se marier avec une fille, la tribu ne comptait pas, ni son consentement ou celui de ses parents. Quand El-Chebab est arrivé, ils ont tué mon frère et mon beau-père. Mon frère était chauffeur entre les régions, il allait parfois jusqu’à la capitale. Parfois, des ONG donnent des aides, des colis pour les villages. Une fois où ils avaient rempli la voiture de mon frère de colis alimentaires, El-Chebab a intercepté la voiture à proximité de Johar. Ils ont brûlé la voiture et ma mère a reçu un appel de mon frère qui lui a dit que son heure était venue. C’est la manière de fonctionner d’El-Chebab qui force ses victimes à dire à leurs familles qu’ils vont être exécuté pour que la famille ne les recherche pas. Nous n’avons jamais retrouvé le corps de mon frère. Quand El-Chebab a décidé de s’en prendre à mon village, ils sont arrivés une fois, en 2010, sans forces armées. Les villages voisins ont décidé de défendre le village. Les coombats ont duré deux jours mais les villageois n’ont pas réussi à tenir. El-Chebab a pris le contrôle de tous les villages voisins ainsi que du mien. Les personnes ayant combattues étaient en danger. Mon beau-père, qui en faisait partie, a fui le village et n’est revenu qu’en 2019, pensant avoir été oublié. La même année, les membres du groupe El-Chebab l’ont égorgé sur la place publique pour montrer l’exemple, avant de jeter son corps dans un puit. Pour eux, ils avaient réglé leurs comptes. J’ai ensuite dû m’occuper de ma famille, de mes enfants, ainsi que des enfants de mon frère. En 2021, il m’a été rapporté qu’un membre haut placé de Al-Chebab voulait m’épouser. Deux hommes sont venus le matin pour me l’annoncer et me demander ce que j’en pensais. Le problème avec Al-Chebab, c’est qu’une fois mariée avec l’un d’entre eux, la famille que tu avais avant n’existe plus, tu ne peux plus les aider ou les contacter. Je leur ai dit que je ne voulais pas. Un autre homme est venu me voir avec un papier, disant que la date de mariage était fixée, et m’a menacé dans le cas où je refusais. J’ai encore refusé. 3 hommes, dont 2 armés, sont venus plus tard chez moi en me disant que le jour de mon mariage était arrivé. Je leur ai dit que je refusais, que ce n’était pas possible de me marier avec l’un d’entre eux, qu’ils avaient tué mon beau-père, ainsi que mon frère et que j’élevais ses orphelins. Ils m’ont frappé, beaucoup, avec l’arme qu’ils portaient. Ma mère est intervenue en suppliant de ne pas me tuer et en négociant pour ma vie. Après ils ont tabassé ma mère. J’ai alors dit « s’il vous plaît, je vais venir avec vous, laissez ma mère. » Ils m’ont amenée dans un village, un endroit fermé, sans porte. Il y avait un tas de gens enfermés là-dedans. Ils m’ont mise avec ces gens, des hommes et des femmes, et il n’y avait vraiment aucune porte, seulement des barricades. Il y avait bien un passage pour faire entrer les nouveaux arrivants, mais les gens étaient tellement terrorisés qu’ils ne sortaient pas. Ils te montrent des vidéos qui expliquent le crime que tu a commis et la punition que tu devrais recevoir selon l’islam. Certains doivent être jetés dans un puits, d’autres tués avec un cailloux… Puisque les gens sont terrorisés, personne n’ose bouger et s’enfuir. Les gardes ne surveillent même pas. Je me suis donc enfuie le soir. J’ai marché plus de deux heures avant de trouver un chemin où les voitures pouvaient passer. Il y avait une voiture portant du bétail sur deux niveaux qui est passée par là. Le chauffeur a refusé de m’amener. Mais les deux hommes et deux femmes qui voyageaient avec lui ont insisté. Il a expliqué qu’il craignait les représailles, mais les deux femmes ont supplié d’au moins m’amener jusqu’à un chemin plus proche. Je suis entrée à quatre patte dans le niveau du bas et m’y suis installée. Nous avons traversé plusieurs points de contrôles, et sommes arrivés à la capitale, dans le mois de septembre. J’ai rencontré mon mari dans la capitale, en octobre, et nous nous sommes mariés en décembre. Quand on s’est mariés, on avait l’intention de rester vivre là-bas, mais Al-Chebab a retrouvé ma trace. Ils m’ont appelée, et m’ont dit être au courant que j’étais à la capitale, et de mon mariage, mais qu’ils allaient me retrouve, et que je savais comment les mécréants étaient châtiés, que j’allais subir le même sort quand ils me retrouveraient, puisqu’ils savaient précisément où je me trouvais. Ils m’ont dit que je pouvais divorcer et retourner précisément à l’endroit où ils m’avaient laissée, et que dans ce cas, je ne subirai pas de châtiment. Un jour où je n’étais pas à la maison, deux hommes sont venus, avec le visage caché et ont demandé aux voisins où j’étais. Je ne savais pas qui c’était. Al-Chebab a fini par m’appeler pour me dire que les deux hommes étaient avec eux ; Ils m’ont dit qu’une voiture m’attendait. J’ai dit d’accord, mais je n’y suis jamais allée. Il y a une chose que je sais avec certitude, c’est que si j’y étais allée, on ne m’aurait jamais retrouvée. Un jour suivant, alors que j’étais sur le marché, une voiture a essayé de me foncer dessus. J’ai fui vers une rue à côté et je me souviens avoir repris connaissance à l’hôpital. On ma expliqué que j’avais reçu un coup sur la tête, et que je n’entendais plus de l’oreille gauche. Al-Chebab m’a envoyé un message pour me dire qu’ils étaient au courant que j’étais encore en vie et ne me laisseraient pas tant que je serai en vie. Les menaces disaient que toutes les personnes qui m’aidaient étaient en danger. Pour moi, il était impossible, inconcevable que je retourne chez moi. J’étais déjà enceinte d’Abshir. Mon mari a demandé de l’aide à sa famille, qui a compris de quelle tribu je venais et a refusé catégoriquement de lui venir en aide, a demandé qu’il divorce de moi et retourne à la maison. On m’a ramené à un endroit, Bondere, ou un ami de mon mari habitait. Nous avons donc quitté le pays pour aller en Turquie. En Turquie, on nous a amené en voiture jusqu’aux bateaux pour prendre le bateau qui nous amenait jusqu’en Europe. On a pris deux voitures différentes. Mais la voiture de mon mari a été arrêtée. Il a été mis en prison deux mois et a été finalement renvoyé en Somalie. C’est pour toutes ces raisons, Monsieur le Directeur, que je vous demande de bien vouloir m’accorder la protection internationale sur le fondement des articles L711-1 et L712-1 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, et de me convoquer dans vos services afin de répondre à toutes vos questions. Je souhaite être entendu lors d’un entretien à l’OFPRA en langue Somali afin que je puisse apporter toutes les précisions nécessaires à l’étude de ma demande d’asile. Veuillez recevoir, Madame, Monsieur, mes sincères salutations.

Français

Je tiens tout d’abord à préciser que je n’ai pas obtenu l’asile en Roumanie, et que je n’ai même jamais eu l’occasion de déposer une demande d’asile. Je m’appelle Abdullahi Ali Hamdi, je suis née le 03 novembre 1994 à Burdiir, en Somalie. Je fais partie de l’ethnie des Dir, et plus précisément de la tribu Ahmed Farah. J’ai 4 frères et sœurs, dont l’ainé et décédé. J’ai été élevée dans la tribu de ma mère, Fatouma Youssouf, qui faisait partie de la tribu Abgal, qui est une grande tribu en Somalie. Mon père faisait partie d’une tribu minoritaire, la tribu Ahmed Farah, et c’est d’ailleurs pour ça que mes parents ont divorcé. Logiquement, ils n’auraient jamais dû se marier, parce que les membres des tribus minoritaires, et donc de la tribu de mon père, doivent se marier entre eux. Mes parents ne se sont pas trop éloignés, mon père est retourné rejoindre sa tribu. A l’époque, moi et mon frère étions né. Selon la coutume, les enfants perpétuent la lignée. La famille de ma mère ne voulait aucun enfant venant de mon père. Mon père a gardé mon frère et ma mère a supplié sa famille de pouvoir me garder. Elle a accepté.La famille de ma mère considérait que je faisais partie d’une race inférieure. Quand ma mère s’est remariée avec un membre de sa tribu, et sa famille a tout fait pour que même mes frères et sœurs, considérés comme de bonne race, me détestent. J’ai fini par me marier avec Quelqu’un de ma propre tribu, et, après eu trois enfants, nous nous sommes séparés. J’ai élevé mes enfants à Galguduud, plutôt tranquillement. Quand EL-Chebab est arrivé dans mon village, ils nous ont appris leur manière de fonctionner. Avec eux, pas de tribu. S’ils souhaitaient se marier avec une fille, la tribu ne comptait pas, ni son consentement ou celui de ses parents. Quand El-Chebab est arrivé, ils ont tué mon frère et mon beau-père. Mon frère était chauffeur entre les régions, il allait parfois jusqu’à la capitale. Parfois, des ONG donnent des aides, des colis pour les villages. Une fois où ils avaient rempli la voiture de mon frère de colis alimentaires, El-Chebab a intercepté la voiture à proximité de Johar. Ils ont brûlé la voiture et ma mère a reçu un appel de mon frère qui lui a dit que son heure était venue.C’est la manière de fonctionner d’El-Chebab qui force ses victimes à dire à leurs familles qu’ils vont être exécuté pour que la famille ne les recherche pas. Nous n’avons jamais retrouvé le corps de mon frère. Quand El-Chebab a décidé de s’en prendre à mon village, ils sont arrivés une fois, en 2010, sans forces armées. Les villages voisins ont décidé de défendre le village. Les coombats ont duré deux jours mais les villageois n’ont pas réussi à tenir. El-Chebab a pris le contrôle de tous les villages voisins ainsi que du mien. Les personnes ayant combattues étaient en danger. Mon beau-père, qui en faisait partie, a fui le village et n’est revenu qu’en 2019, pensant avoir été oublié. La même année, les membres du groupe El-Chebab l’ont égorgé sur la place publique pour montrer l’exemple, avant de jeter son corps dans un puit. Pour eux, ils avaient réglé leurs comptes. J’ai ensuite dû m’occuper de ma famille, de mes enfants, ainsi que des enfants de mon frère. En 2021, il m’a été rapporté qu’un membre haut placé de Al-Chebab voulait m’épouser. Deux hommes sont venus le matin pour me l’annoncer et me demander ce que j’en pensais.Le problème avec Al-Chebab, c’est qu’une fois mariée avec l’un d’entre eux, la famille que tu avais avant n’existe plus, tu ne peux plus les aider ou les contacter. Je leur ai dit que je ne voulais pas. Un autre homme est venu me voir avec un papier, disant que la date de mariage était fixée, et m’a menacé dans le cas où je refusais. J’ai encore refusé. 3 hommes, dont 2 armés, sont venus plus tard chez moi en me disant que le jour de mon mariage était arrivé. Je leur ai dit que je refusais, que ce n’était pas possible de me marier avec l’un d’entre eux, qu’ils avaient tué mon beau-père, ainsi que mon frère et que j’élevais ses orphelins. Ils m’ont frappé, beaucoup, avec l’arme qu’ils portaient. Ma mère est intervenue en suppliant de ne pas me tuer et en négociant pour ma vie. Après ils ont tabassé ma mère. J’ai alors dit « s’il vous plaît, je vais venir avec vous, laissez ma mère. » Ils m’ont amenée dans un village, un endroit fermé, sans porte. Il y avait un tas de gens enfermés là-dedans. Ils m’ont mise avec ces gens, des hommes et des femmes, et il n’y avait vraiment aucune porte, seulement des barricades.Il y avait bien un passage pour faire entrer les nouveaux arrivants, mais les gens étaient tellement terrorisés qu’ils ne sortaient pas. Ils te montrent des vidéos qui expliquent le crime que tu a commis et la punition que tu devrais recevoir selon l’islam. Certains doivent être jetés dans un puits, d’autres tués avec un cailloux… Puisque les gens sont terrorisés, personne n’ose bouger et s’enfuir. Les gardes ne surveillent même pas. Je me suis donc enfuie le soir. J’ai marché plus de deux heures avant de trouver un chemin où les voitures pouvaient passer. Il y avait une voiture portant du bétail sur deux niveaux qui est passée par là. Le chauffeur a refusé de m’amener. Mais les deux hommes et deux femmes qui voyageaient avec lui ont insisté. Il a expliqué qu’il craignait les représailles, mais les deux femmes ont supplié d’au moins m’amener jusqu’à un chemin plus proche. Je suis entrée à quatre patte dans le niveau du bas et m’y suis installée. Nous avons traversé plusieurs points de contrôles, et sommes arrivés à la capitale, dans le mois de septembre. J’ai rencontré mon mari dans la capitale, en octobre, et nous nous sommes mariés en décembre.Quand on s’est mariés, on avait l’intention de rester vivre là-bas, mais Al-Chebab a retrouvé ma trace. Ils m’ont appelée, et m’ont dit être au courant que j’étais à la capitale, et de mon mariage, mais qu’ils allaient me retrouve, et que je savais comment les mécréants étaient châtiés, que j’allais subir le même sort quand ils me retrouveraient, puisqu’ils savaient précisément où je me trouvais. Ils m’ont dit que je pouvais divorcer et retourner précisément à l’endroit où ils m’avaient laissée, et que dans ce cas, je ne subirai pas de châtiment. Un jour où je n’étais pas à la maison, deux hommes sont venus, avec le visage caché et ont demandé aux voisins où j’étais. Je ne savais pas qui c’était. Al-Chebab a fini par m’appeler pour me dire que les deux hommes étaient avec eux ; Ils m’ont dit qu’une voiture m’attendait. J’ai dit d’accord, mais je n’y suis jamais allée. Il y a une chose que je sais avec certitude, c’est que si j’y étais allée, on ne m’aurait jamais retrouvée.Un jour suivant, alors que j’étais sur le marché, une voiture a essayé de me foncer dessus. J’ai fui vers une rue à côté et je me souviens avoir repris connaissance à l’hôpital. On ma expliqué que j’avais reçu un coup sur la tête, et que je n’entendais plus de l’oreille gauche. Al-Chebab m’a envoyé un message pour me dire qu’ils étaient au courant que j’étais encore en vie et ne me laisseraient pas tant que je serai en vie. Les menaces disaient que toutes les personnes qui m’aidaient étaient en danger. Pour moi, il était impossible, inconcevable que je retourne chez moi. J’étais déjà enceinte d’Abshir. Mon mari a demandé de l’aide à sa famille, qui a compris de quelle tribu je venais et a refusé catégoriquement de lui venir en aide, a demandé qu’il divorce de moi et retourne à la maison. On m’a ramené à un endroit, Bondere, ou un ami de mon mari habitait. Nous avons donc quitté le pays pour aller en Turquie. En Turquie, on nous a amené en voiture jusqu’aux bateaux pour prendre le bateau qui nous amenait jusqu’en Europe. On a pris deux voitures différentes. Mais la voiture de mon mari a été arrêtée.Il a été mis en prison deux mois et a été finalement renvoyé en Somalie. C’est pour toutes ces raisons, Monsieur le Directeur, que je vous demande de bien vouloir m’accorder la protection internationale sur le fondement des articles L711-1 et L712-1 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, et de me convoquer dans vos services afin de répondre à toutes vos questions. Je souhaite être entendu lors d’un entretien à l’OFPRA en langue Somali afin que je puisse apporter toutes les précisions nécessaires à l’étude de ma demande d’asile. Veuillez recevoir, Madame, Monsieur, mes sincères salutations.

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